Francourville est une des 20 communes de Chartres Métropole à se trouver sur le territoire de déploiement d'Eure-et-Loir Numérique. La réunion publique du 1er juillet 2020 a annoncé l'arrivée de la fibre optique pour tous les habitants du village.
363 logements sont déjà éligibles à la fibre optique et la commercialisation des abonnements commencera incessamment à ces adresses de Francourville, une commune d’environ 800 habitants à l’est de Chartres.
Fin 2020, le reste des quelque 400 logements et entreprises de Francourville seront éligibles à la fibre optique.
Eric Moulin, maire réélu, a accueilli les habitants venus avec de nombreuses questions, notamment techniques, comme par exemple où placer sa box. Toutes les questions de ce type trouvent une réponse dans la FAQ, ICI.
Rémi Martial, conseiller départemental, maire de Lèves et représentant de Chartres Métropole pour le numérique a pris également la parole pour féliciter le maire réélu et pour expliquer que 20 communes de Chartres Métropole se trouvent sur le réseau d’initiative publique d’Eure-et-Loir Numérique et non en zone AMII.
La fibre optique déployée par Eure-et-Loir Numérique couvre déjà 12 autres communes de Chartres Métropole : Bouglainval, Champseru, Chartrainvilliers, Ermenonville-la-Grande, Francourville, Houx, Maintenon, Oinville-sous-Auneau, Roinville, Saint-Léger-des-Aubées, Sandarville, Unmpeau (centre-bourg), Voise.
Eure-et-Loir Numérique a également réalisé 7 opérations de montée en débit ADSL dans des communes de Chartres Métropole : à Allonnes, Boisville-la-Saint Père, Boncé, Meslay-le-Vidame, Theuville, Vitray-en-Beauce.
Un investissement total qui s’élève à 7,4M€ sur la période 2014-2020, dont 1,28 M€ sont financés par Chartres Métropole.
L’intérêt des habitants lors des réunions publiques est grandissant. Ils se posent notamment des questions sur la fibre à l’heure où le télétravail et les examens en ligne mettent en lumière l’importance d’avoir été, comme l’a précisé Jacques Lemare, président d’Eure-et-Loir Numérique et animateur de cette réunion, « très tôt très imaginatifs et parmi les premiers », dès 2010, à réfléchir à ce chantier majeur, « à l’heure où personne n’imaginait encore qu’on ne pourrait plus se passer de nos smartphones ».